Denis se sent prêt à reprendre la route. Bon finalement, il a un peu présumé de ses forces, car au bout d’une bonne centaine de kilomètres, il est trop fatigué et me laisse le volant. Oui, oui, ce n’est pas une blague !!! Nous savons où nous voulons nous arrêter ce soir. Ce sera dans une pousada pas plus sympathique que ça, mais très propre.

Nous y arrivons vers 17h30, et Denis pourra se reposer au frais avant de reprendre la route demain. Nous grignotons une brochette dans la rue, nous n’avons faim, ni l’un, ni l’autre.